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C’est dans ces conditions extrêmes que Philip Plisson, comme Guillaume Plisson pêchent des images à partager avec le plus grand nombre. Ce travail de marin photographe nécessite une analyse et une connaissance spécifiques des phénomènes météorologiques sur nos côtes. Les tempêtes si nombreuses ces derniers temps, portent des noms qui font parfois penser à des souvenirs douloureux. Les phares en mer, mal traités par les vagues monstrueuses, les navires pris dans la tourmente d'une mer déchaînée sont des images de nos collections qui ont été le plus vendues sur la planète. Nous vous invitons à un voyage venté, du phare de la pointe des Poulains à Belle-Ile-en-Mer, à la côte sauvage de Quiberon en passant par le Raz de Sein, puis Saint-Guénolé, port du Finistère très exposé aux caprices de la météo.
Les phares de la mer d’Iroise offrent les plus belles photos de tempête avec la houle venant frapper ces fûts posés en pleine mer. La Jument, Nividic, Ar-Men, le Four ou encore le phare des Pierres Noires, résistent encore aux assauts de la mer et du vent.
Au début de l’année 2014, la tempête Petra a frappé les côtes bretonnes avec des vagues de 10 mètres offrant un spectacle impressionnant, immortalisé par nos 2 chasseurs de tempêtes que sont Philip et Guillaume Plisson
Nous devons nous rappeler que, dans ces conditions, les hommes et les femmes bénévoles de la SNSM, ou les remorqueurs comme l'Abeille Bourbon, prennent la mer pour sauver les navires en difficulté, mais surtout des gens imprudents qui ont navigué lorsque les prévisions météorologiques auraient dû les inciter à rester au port |